mercredi 21 novembre 2012

CRITIQUE DU LIVRE VERTIGES MORTELS DE NEAL BAER ET JONATHAN GREEN

Claire Waters est une jeune psychiatre spécialisée en médecine légale, passionnée par son métier. Hantée par un événement traumatisant de son enfance - le kidnapping de sa meilleure amie devant ses yeux à l'âge de huit ans - Claire a toujours été attirée par les patients dits incurables, ceux qui semblent n'avoir ni conscience ni peur. Elle accepte de rejoindre le programme mis en place par le célèbre docteur Paul Curtin au centre pénitencier de Rikers Island, l'une des plus grandes institutions psychiatriques des États-Unis. Dès son premier jour, et comme pour tester ses capacités, le docteur Curtin lui demande d'interroger un certain Todd Quimby afin de déterminer s'il est apte à retourner à la vie civile. Détenu à l'esprit dérangé, dont le beau visage enfantin dissimule une histoire sordide de dysfonctionnement et de mauvais traitements, Quimby réveille chez Claire quelque chose qu'elle préférerait ne pas affronter. Elle donne alors un peu trop rapidement un avis favorable à la sortie de Quimby. Quelques nuits plus tard, l'homme l'appelle chez elle en lui expliquant que ses pulsions le reprennent. Le lendemain matin, Claire apprend qu'une jeune prostituée blonde a été retrouvée morte à Times Square, étranglée avec une corde et les yeux brûlés à l'acide.
Elle se rend aussitôt au commissariat pour raconter ce qu'elle sait et se retrouve devant l'inspecteur Nick Lawler. Tout d'abord soupçonneux à l'égard de la jeune femme, il comprend vite que les informations qu'elle vient lui apporter sont sûrement d'une importance capitale. Une course contre la montre s'engage alors contre Todd Quimby...
CRITIQUE:
On rentre tout de suite dans ce thriller qui démarre de la première à la dernière page sans ambages et direct dans un style vif et percutant qui ne laisse aucun répit pour le lecteur…
On a l’impression de suivre une série car le livre se décompose en plusieurs parties avec moult rebondissements qu’on ne voit pas venir qui sillonnent tout au long du roman…

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